• Deux chasseurs belges partent chasser le cerf dans le grand nord au Canada. Afin de partir de leur camp situé à proximité d’un des innombrables lacs de cette région, ils prennent un hydravion.


    Arrivés à destination, nos deux potes descendent et s’apprêtent à vivre leur grande aventure.

    – Eh ! fait le pilote, je vous préviens, je repasse ici dans une semaine. Quant à votre « Récolte », je ne prendrai qu’un cerf maximum par personne. Vous comprenez, ça pèse assez ces animaux, et l’hydravion n’accepterait pas une surcharge. Compris ?


    – Ouais ouais, fait l’un des chasseurs. Pas de problème.


    – OK les mecs. Bonne chance et à dans 7 jours.

    La semaine passe tranquillement, et les 2 chasseurs terminent avec 2 cerfs pour chacun… Ils se rendent tant bien que mal au rendez-vous à l’hydravion.

    Apercevant les 4 cerfs, le pilote fait :


    – Mais oh ?! Je vous ai dit que je ne prendrai qu’un seul cerf par chasseur, soient 2 au total. Que faites-vous avec ces 4 ? Je refuse de vous ramener dans ces conditions ! L’hydravion ne va jamais pouvoir décoller.


    – Ah, fait l’un des deux, pourtant, le pilote de l’an dernier, lui, n’avait pas hésité à décoller avec 4 cerfs…


    – #@$@#$$@# ! Enfin, si lui y est arrivé, pourquoi pas moi. Mais franchement, c’est la première et la dernière fois que je fais ça. Faut pas déconner. Allez, montez avec vos bestioles, et accrochez vos ceintures.

    Les moteurs se mettent en route, et l’hydravion s’élance. Lorsqu’il a atteint sa vitesse maximale, le pilote lève le manche à balai, mais la surcharge est trop importante, et le bolide, après avoir légèrement quitté la surface du lac, pique… pour aller se mettre en 1000 morceaux dans la forêt voisine.

    Tout notre petit monde tombe dans les choux. Quelques instants après, un des 2 chasseurs reprend connaissance, et demande à son pote (qui vient lui aussi de se réveiller) :


    – Mais ou sommes nous ?


    – Si ma mémoire est bonne, fait l’autre en contemplant les alentours, nous sommes à peu près à 200 mètres de l’endroit ou nous nous étions écrasés l’année dernière…


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  • Léopold, est un abonné de la gueuze (célèbre bière belge) et ne rentre jamais chez lui de bonne heure.

    4 heures du matin, Léopold sort son trousseazu de clés de sa poche et entend rouler sur le sol une pièce de monnaie.

    Alors il se met à 4 pattes à sa recherche.

    - Et alors Léopold, dit l'agent de quartier qui passait par là, on a perdu quelque chose ?

    - Oui, m'sieur l'agent, d... deu... deux euros.

    - Ici, sous le réverbère ?

    - Non, un... un peut plus loin, mais ici c'est plus clair pour chercher.

    - Allez Léopold, vous allez rentrer chez vous bien sagement, et moi, je vous promets de chercher votre pièce de deux euros. Demain, je vous la rends. Bonne nuit Léopold !

    Alors Léopold rentre chez lui bien sagement.

    Le lendemain matin, les services du gaz posent de nouvelles tuyauteries dans la rue et creusent à cet effet une interminable tranchée.

    Léopold sort de chez lui et va, illico, trouver l'agent qui surveille le chantier.

    - Dis, Monsieur l'agent, chercher la pièce, ça tu pouvais faire ; mais ouvrir toute la rue pour la retrouver, ça tu devrais pas !

     


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  • Suite à une petite annonce dans un quotidien belge "recherche un mineur, etc..."

    Un bruxellois se présente. Il n'est jamais descendu dans la mine, donc ne possède aucune expérience dans ce domaine mais, futé comme peuvent l'être les bruxellois, tente néanmoins de se faire engager.

    Il est reçu par le chef de chantier, un italien :

    - "Qué, vous êtres déjà descendou souvent ?

    - Oeye oué, ça c'est sûr et tout seul encore !

    - Si ! Qué vous êtres descendou à combien ?

    - Oeye, oeye, 5, 6, 7 allei : 8 mètres

    - Qué pas plousse ?

    - Heu oué, mais attention, hein ! a pied, sans ascenseur tu sais !

    De plus en plus intrigué par ces réponses, l'italien pousse un peu plus loin son interrogatoire.

    Et la lampe de mineur, vous la mettez à quel endroit exactement ?

    Cliquez sur le bouton pour lire la chute

    - "Une lampe ? Et là, attention, hein !... mois je descend pas la-dedans la nuit, tu sais.

     

     

     


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